Écritures et résilience

Les prisonniers écrivent dans leur cellule, les enfants écrivent sur le papier, les adultes font des récits... Comment peut-on comprendre ce besoin ? L’écriture a-t-elle quelque chose de thérapeutique ?

Les professionnels de la santé mentale gagnent à connaître le rôle thérapeutique que peut avoir l'écriture. Cette formation porte un intérêt sur la résilience par l’écriture.

Plan de la formation 

1. La résilience et l’écriture

   1. Le récit préverbal 

      1. Contexte historique

      2. Rôle de l’écriture 

         • Fiabilité

         • Preuve et images

         • Partage de connaissance et vérité

      3. La prosodie – Musique des mots

      4. Représentation des maux par des mots

   2. Le récit que l’on fait de soi

      1. Expérience à l’école (Offer, 2000)

      2. Expérience de B. Cyrulnik, M. Delage, I. Berthelot

      3. Expérience « les photos de l’horreur »

         • Description de l’expérience

         • Analyse

         • Le rôle des mots et du discours sur la mémoire

   3. Le contexte culturel

      1. L’amour et le mariage

      2. Le travail

   4. Le rôle de l’écriture dans le deuil

2. Ecriture, rôle de médiation

   1. La littérature de la résilience

   2. Les confidences – La guerre d’Algérie

      1. Le porte-parole

      2. Le rôle de l’art dans la médiation

3. Le rôle de la technologie

   1. Invention de l’imprimerie

   2. Partage du savoir et démocratie (Foucault, 2019)

   3. Internet

      1. Enfants devant les écrans

      2. Monde de représentations

4. Entrevue de Boris Cyrulnik (Partie 1)

   1. Si écrire représente un manque, comment peut-on comprendre les nombreux écrits de Boris Cyrulnik ?

   2. Est-ce que le manque et la perte sont des thèmes associés ?

   3. Le héros est-il un porte-parole ou un porte-symptôme ?

   4. Quel a été le premier pilier de résilience chez Boris Cyrulnik ?

   5. L’excès de travail d’écriture a-t-il des effets pervers sur la résilience ?

5. Entrevue de Boris Cyrulnik (Partie 2)

   1. Une personne qui écrit, qui a connu un trauma, cette pratique ne serait-elle pas une tentative d’ouvrir la boite

   2. Sur les réseaux sociaux l’écriture d’exclusion n’est-elle pas un signe de désilience sociétale ?